Greenland, porté par le fameux duet de La Chute du Président Gérard Butler et Ric Roman Waugh est le seul blockbuster américain de l’été. Et c’est une agréable (petite) surprise.
Greenland est le seul rescapé de la myriade de blockbusters américains attendus cet été. Si au milieu de Tenet et autres Wonder Woman 1984 le celluloid catastrophe du span Gérard Butler et Ric Roman Waugh, tous deux fraîchement sortis de leur celluloid d’auteur La Chute du Président serait passé inaperçu, cette pénurie de concurrence lui donne un tout autre éclairage, et ce pour les meilleures raisons.
S’il sera en effet coutume désormais de féliciter les distributeurs courageux de sortir leurs films dans des salles désertées, Greenland est l’exemple idéal du blockbuster estival réussi, qui en summation de tenir ses promesses, divertit pleinement sans vouloir révolutionner le genre. Après les exploits de Roland Emmerich et Michael Bay dans le film catastrophe avec spécialité explosions, Ric Roman Waugh mise sur la sobriété et 50’efficacité en recentrant son récit not pas sur la comète second’écrasant sur la terre et ses détonations à outrance mais sur la famille comme dernier refuge d’une humanité vouée au chaos full.
Gérard 50’acteur
Gérard Butler peut alors sec’avérer tout à fait investi et étonnant dans une prestation sobre et efficace, à 50’picture du film, qui le fait rejoindre des actionners à 50’ancienne comme Jason Statham qui à fifty’instar de notre Gégé à su plusieurs fois se renouveler et faire partie de plusieurs fructueuses franchises. L’acteur peut alors, face à Morena Baccarin, délivrer son jeu, limité mais prenant, dans un cinema qui mise sur une humilité de 50’émotion en n’en faisant jamais trop.
Fini donc la bête de violence brute et sans sentiments. L’acteur comme le reste de sa famille sont mis à nus face à un climat s et hostile où la survie importe plus aux protagonistes et au réalisateur qui filme la quête désespérée d’un refuge familial aussi delicate qu’une planète en proie à une comète géante. Son petit budget dédié aux effets spéciaux se trouve alors un parfait ressort pour Greenland qui second’en trouve addition fort et addition authentique dans boy approche de 50’apocalypse terrestre, lorgnant alors volontiers summation vers La Guerre des Mondes que 2012.
La fin du cinema, cependant beaucoup trop longue et attendue, égratignera cependant un peu ce plaisir de divertissement honnête, jamais opportuniste ni promis à autre chose que de remplir son contrat. Espérons tout de même que boy fighting pour la survie ne résonnera pas dans le vide au milieu des explosions de comètes et des salles désertées.
Greenland est sorti le five août 2020.
Critique écrite par Kantain.